Visiter Mers-Sur-Indre

   

Le Square Suzanne Darbans

Ce square, ancien jardin de la maison au four rond, a été la propriété de Suzanne DARBANS, artiste de l'Opéra de Paris. Ce lieu de souvenir, Jean NOC, son époux, en fait don à la commune de Mers-Sur-Indre en 1997.
   

La mare au diable

La Mare au Diable doit sa renommée, grâce à l’histoire du même nom, écrite par George Sand et publiée en 1848. Elle est située dans le bois de Chanteloube sur la route de Saint-Août.
   

La Motte de Presle

Sur la route de St-Août, à gauche après le square Suzanne Darbant, en quittant Mers-Sur-Indre, cette étrange butte herbeuse surmontée de trois chênes a toujours fait vagabonder les imaginations. Depuis plusieurs siècles l’origine est discutée, une chose est certaine, cette motte avait une circonférence de 170 mètres et 26 mètres de haut.
Le TUMULUS, était dans la propriété de Presles au moment de gloire de ce lieu. Il était beaucoup plus important qu’actuellement. Le Conseil Général de l’Indre a pris un arrêté le 3 juin 1858 taxant à 15 centimes la voiture, le tirage de sable et la municipalité de Mers pris une délibération le 3 novembre 1889 interdisant tout tirage de sable.
 Au pied de cette motte à droite, était édifiée une chapelle démolie peu avant 1800 et un cimetière. Sur le sommet une tour où se réfugiait le seigneur, sa famille et sa garde.
   

Le Château du Magnet

 

Situé tout près de la Mare au Diable, le château du Magnet, propriété de la célèbre Mogador, fut remanié de nombreuses fois jusqu'à la fin du XIXème siècle.
Il étonne et fixe l'attention grâce aux hautes toitures et lucarnes à pinacle de ses deux grandes tours principales.
Château privé et fermé à la visite.
   

L'Eglise Saint-Martin

L'église St-Martin XIIIème siècle, était sous le patronage de l'Abbaye de Déols. Elle existait en 1115 comme le prouve une bulle du Pape Pascal II confirmant des bénéfices venant de la dite église. L'édifice très transformé se compose d'un clocher-porche, suivi d'une nef couverte d'un berceau en bois, aujourd'hui plâtré, qui a conservé certaines parties de ses murs anciens. Ainsi, on voit près de l'entrée du cheour, un visage de l'époque.